Lorsque son récit autobiographique paraît en 1971 à Francfort, dans une maison d'édition issue de l'émigration blanche réactionnaire, la socialiste-révolutionnaire russe Ekaterina Olitskaïa en est « consternée » : après quarante ans de prison, d'exil et de camp, elle n'a rien renié de son idéal. Elle (...) (...)
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