«Il devait y avoir une puissante envie de vivre tout au fond de moi. Sinon, je ne serais plus là.» En regardant son parcours cabossé, Stéphanie Bovard-Charbonnet, 49 ans, se qualifie de survivante. La Valaisanne a subi des abus sexuels répétés de la part d’un membre de sa famille, de ses 2 ans et demi (...)
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