Robin Campillo : « Réaliser “Enzo” m’a sauvé. Si je ne m’étais pas retrouvé dans l’angoisse du (...)
En reprenant les rênes d’« Enzo » après la mort de Laurent Cantet, le réalisateur de « 120 Battements par minute » a conjuré la tristesse et scellé une belle histoire de cinéma et d’amitié. Il raconte.
Site référencé: L’Obs
L'Obs
Ces quatre chercheurs ne désespèrent pas de comprendre le trumpisme
21/06/2025
Ces deux utopies oubliées du XIXᵉ siècle peuvent nous aider à penser l’intelligence artificielle
21/06/2025
Dans l’enfer de la migraine : « Les crises sont si intenses qu’il m’arrive de m’évanouir de douleur »
21/06/2025
Au salon du Bourget, misère du macronisme spatial
21/06/2025
Six films d’animation qui vont faire parler d’eux dans les mois à venir
21/06/2025
Mettre en musique le trail : émotions sincères ou stratégie d’enchantement marchand ?
21/06/2025
