À l'en croire, c'est pour des raisons d'abord esthétiques et plastiques que Käthe Kollwitz (1867-1945) commença à peindre le monde ouvrier : « Le beau, c'était pour moi le portefaix de Königsberg, les mariniers polonais sur leurs bateaux, la générosité des mouvements dans le peuple. Les gens du monde (...)
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